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Auteur/autrice : actuadmin

Visite du centre de maintenance industrielle de la SNCF à Périgueux

Partie intégrante du Technicentre Charentes-Périgord de la SNCF, répartis entre les sites de Saintes et de Périgueux, le centre de maintenance industrielle SNCF pétrocorien a ouvert ses portes aux élèves du collège Max Bramerie de la commune de La Force. Nous partageons le reportage réalisé par les élèves et diffusé par France 3 Aquitaine...

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Les 5 fusions-acquisitions de l’année : 2014

Le marché a connu en 2014 plusieurs opérations d’acquisition et de fusion qui ont concerné des marques que nous côtoyons tous au quotidien, de façon visible ou pas. Le secteur des internet et télécoms reste celui ou les opération les plus importantes ont lieu. 1. Nokia devenu fief de l’Empire Microsoft Acquis par Microsoft pour la rondelette somme de 5,4 milliards d’euros, Nokia a connu une importante diète de sa masse salariale (près de 10000 emplois supprimés) avant de voir sa marque disparaître de la façade des smartphones Microsoft. Nokia a ainsi rejoint Kodak en l’espace d’un an au cimetière des marques jadis hégémoniques, aujourd’hui fantômes. 2. SFR mangé par le MVNO Numericable C’est l’histoire d’un petit opérateur virtuel qui absorbe le géant historique. Enfin, bien entendu, derrière la branche téléphonie de l’opérateur historique du cable se trouve un groupe multinational aux reins solides, le méconnu Altice. 13,5 milliards d’euros ont ainsi été déboursés par le luxembourgois pour s’offrir l’ancienne division de la générale des eaux, 3. Lenovo s’offre Motorola et (encore) un morceau IBM Le chinois Lenovo avait défrayé la chronique en 2005, en s’emparant de la division ordinateur personnel d’IBM pour 1,25 milliards de dollar. Neuf ans plus tard, IBM largue encore un peu plus de lest, en cédant cette fois sa gamme de serveur d’entrée de gamme pour 2,3 milliards de dollar. Non encore repus de ce menu festin, Lenovo a doublé la mise...

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Dans les coulisses de la maintenance Shinkansen, le « TGV » Japonais

Il n’y a pas de mystères dans la technologie : les performances records vont de pair avec une une précision extrême dans la conception et la maintenance des équipements. Le Shinkansen, équivalent japonais de notre TGV, n’échappe pas à cette règle… Un programme de maintenance à quatre niveaux La maintenance des Shinkansen est presque exclusivement préventive : une anomalie apparaissant alors que le train est lancé à parfois plus de 300 km/h pourrait avoir des effets terribles. Il faut donc que chaque pièce sensible, chaque pièse d’usure soit contrôlée régulièrement et en profondeur. La maintenance préventive des rames du train à grande vitesse japonais s’articule en 4 niveaux de fréquence, regroupant chacun une ou plusieurs opération de contrôle et de réparation. Niveau 1 : tous les deux jours Ce premier niveau de contrôle, routinier, ne concerne que les pantographes. Ces bras articulés sont muni à leur sommet d’un large archet assurant le contact permanent entre le caténaire fournissant le courant et la locomotive. Le technicien de maintenance contrôle l’usure des frotteurs, afin d’assurer la qualité de la transmission du courant, et prévenir les phénomènes de microcoupures et la formation d’arcs électriques nuisibles au matériel et aux caténaires. Niveau 2 : tous les mois Chaque mois, les rames de Shinkansen sont plus lourdement inspectées par les équipes de maintenance. Les pièces d’usure sont intégralement vérifiées et les essieux sont inspectés grâce à un scanner...

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Compte pénibilité : à deux semaines du démarrage… comment le mettre en place rapidement ?

Qu’on soit bien sûr d’une chose : à l’heure où nous écrivons ces lignes, le compte pénibilité doit être mis en place dès le 1er janvier prochain, selon le Décret n° 2014-1155 du 9 octobre 2014. Mais depuis ce dernier, des signaux contradictoires sèment le doute… Le compte pénibilité peut-il être encore reporté ? La question est plus que jamais d’actualité, avec notamment Europe1 qui a relayé la rumeur d’un report in-extremis, mais ce délai ne concernerait que le deuxième volet qui devrait entrer en application en 2016, et soulève aujourd’hui beaucoup plus de questions que le premier, notamment dans les petites entreprises. Si...

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Pile à combustible : un voyage de 10000 km en voiture !

Afin de promouvoir la technologie de pile à combustible hydrogène et mettre à l’eupreuve les voitures à hydrogène sur de longues distances, le constructeur automobile chinois SAIC et le groupe français Air Liquide se sont associés le temps d’une épopée de 10000 kilomètres. Shangaï et Kunming reliées via le Tibet en 52 jours L’expédition aura mobilisé 3 véhicules, une station de distribution mobile Air Liquide et 3000 mètres cubes d’hydrogène. Bien entendu, le voyage ne s’est pas faite d’une traite, et il aura fallu 128 ravitaillements des piles à combustible pour effectuer le long voyage, dont la longueur se mesure à celle de la muraille ce Chine. 15 provinces de Chine et 64 villes notables ont vu ces voitures du futur passer. Des conditions record et une autonomie honorable Au cours du périple, des conditions difficiles ont pu être testées : relief, approvisionnement en altitude, et même un test au Tibet, à une altitude de 4000 m, où les véhicules ont pu prouver leur adaptation à une atmosphère ténue (moins des deux tiers de la pression atmosphérique au niveau de la mer). Pour un seul plein d’hydrogène, la distance maximale parcourue a été de 588 kilomètres, une distance respectable pour un véhicule testé sur le terrain, même si des autonomies de 600 à 700 kilomètres sont promises par les constructeurs à court terme. Par rapport aux autres systèmes de voitures électriques, plafonnant...

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